Après « Et à la fin tout le monde meurt » (Prix Marie-Claire du premier roman) et « Bâti pour durer », le nouveau roman de Johanne Rigoulot, intitulé « Un dimanche matin », vient de paraître aux Éditions des Équateurs.

C’est un fait divers comme la France en compte des centaines chaque année. Quand, au hasard d’une conversation, j’évoque « mon cousin condamné pour le meurtre de sa femme », je m’étonne de la surprise des gens.
Les crimes et délits saturent les journaux et nourrissent nos imaginaires. Ils doivent bien trouver leur réalité quelque part. Elle est la mienne et celle de ma famille depuis ce soir de juillet 2004.
Pierre a tué un dimanche matin avant de cacher le cadavre de sa victime. Par les multiples atteintes por-tées au corps de sa femme, mère de ses deux enfants, il a contraint le monde à parler d’elle au passé. Trois jours plus tard, le temps d’une mise en scène grossière révélée par l’enquête, l’affaire envahissait nos vies.
La famille est un organisme vivant. Qu’un seul élément l’intoxique et le corps entier entre en lutte.

Plus d’infos sur Johanne Rigoulot :
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