Le premier roman de Négar Djavadi « Désorientale », paru le 25 août dernier aux éditions Liana Levi, connait un succès fulgurant. Finaliste des prix Fnac et Le Monde, il est désormais en lice pour les prix Femina, Style et SGDL.

Si nous étions en Iran, cette salle d’attente d’hôpital ressemblerait à un caravansérail, songe Kimiâ. Un joyeux foutoir où s’enchaîneraient bavardages, confidences et anecdotes en cascade. Née à Téhéran, exilée à Paris depuis ses dix ans, Kimiâ a toujours essayé de tenir à distance son pays, sa culture, sa famille. Mais les djinns échappés du passé la rattrapent pour faire défiler l’étourdissant diaporama de l’histoire des Sadr sur trois générations: les tribulations des ancêtres, une décennie de révolution politique, les chemins de traverse de l’adolescence, l’ivresse du rock, le sourire voyou d’une bassiste blonde…
Une fresque flamboyante sur la mémoire et l’identité; un grand roman sur l’Iran d’hier et la France d’aujourd’hui.

La presse est également unanime :

«Désorientale se lit sans reprendre son souffle, bel hymne à la liberté de vivre, de penser, d’aimer.» L’Humeur vagabonde, France Inter
«De l’émotion, de la comédie, de la fièvre et du drame.» Elle
«Une plume enchanteresse.» Canal +
«Formidable. L’un des romans les plus forts de la rentrée.» La Grande Librairie, France 5
«On lit rarement un premier roman aussi fort.» Grazia
«Une voix qui nous enchante autant qu’elle nous étreint.» Le Monde des livres
«Un coup de maître.» Psychologies magazine
«Une épopée romanesque.» Le Figaro littéraire
«Une odyssée.» L’Humanité
«Une autobiographie pleine de fictions libératoires.» Lire
«Un monologue échevelé où la saga familiale croise le récit intimiste.» Livres Hebdo
«Une histoire romanesque en diable, pleine de digressions délicieusement orientales.» Télérama
«Nourri d’une veine politiquement incorrecte, résolument spontanée, le roman est une célébration de la vie et de la musique.» Le matricule des anges
«Une saga paradoxale, sacrément culottée : l’une des plus belles surprises de cette fin d’été.» Diacritik
«Un conte moderne décapant.» Onlalu
«À lire et à relire, un roman inépuisable.» Le 1
«La révélation de la rentrée.» Télématin
«Entre satire sociale et conte persan, ce roman nous plonge dans l’histoire de l’Iran et dans celle d’une femme en quête d’elle-même.» Biba
«Un premier roman trépidant et plein d’humour.» Ouest France

Plus d’infos sur Négar Djavadi :
http://www.agencelisearif.fr/auteur-realisateur/negar-djavadi/